12 avril 2018 / 08 h 15 / Les chats traversent n’importe où
#vélo
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1. Le 4 avril 2018,
karl, La Grange
De la neige, de la neige, et dans le jardin ici tant de fleurs.
2. Le 4 avril 2018,
Laurent Gloaguen
Grrrr… ;-)
6) Rouler par neige et verglas tu éviteras
Pour m’être ramassé une paire de fois à vélo sur la neige et le verglas – la dernière fois c’était à deux mètres de l’arrivée, devant le parking du journal – j’ai tendance à conseiller de laisser la bicyclette au garage pour ce genre d’occasions. Si vous tenez malgré tout à l’enfourcher, « pour la joie de dépasser les voitures bloquées », dixit Amélie, gardez à l’esprit qu’il vous faudra : des pneus larges, des bons freins et des habits résistants, en cas de chute.
Libération, Gabriel Siméon : “Les dix commandements pour affronter le froid et la pluie à vélo”.
Vu d’ici, voilà qui prête à sourire. Cela dit, oui, mieux vaut être équipé en conséquence.
#vélo
1. Le 2 décembre 2015,
Gagarine
Vous mettez des pneus à clous?
J’hésite à en mettre cette année, nos services de déblayage (au Luxembourg) sont terriblement efficace. L’an dernier on a eu, peut être, deux jours avec de la neige ou du verglas sur les routes et pistes cyclables. Et dieu que c’est galère à mettre.
2. Le 2 décembre 2015,
Laurent Gloaguen
J’ai des clous à l’avant et du pneu hiver à l’arrière. Mais pour deux jours, effectivement, ça ne vaut pas la peine parce que oui, c’est chiant à mettre.
3. Le 7 décembre 2015,
OlivierJ
A Paris une fois où il avait neigé d’un coup plus de 10 cm, j’avais été étonné de pouvoir rouler à vélo dans la neige fraîche (important sans doute) sans tomber ni que ce soit casse-gueule, avec mon vélo de semi-course (pneus fins gonflés à 5 bars). Pour le verglas je n’ai pas essayé.
4. Le 7 décembre 2015,
Laurent Gloaguen
Le problème majeur est effectivement la glace, pas la neige.
5. Le 8 décembre 2015,
Karl, La Grange
Et pis encore pour le piéton et tous les autres. La glace sous la neige.
« Mon but, c’est de s’assurer qu’on trouve cet équilibre entre les besoins de la communauté et le vélo. » [Denis Coderre.]
La Presse, Daphné Cameron : “Piste cyclable Brébeuf : bisbille autour d’un terre-plein”.
Ça a le mérite d’être clair, les cyclistes ne font pas partie de la communauté, sont en marge, en opposition. La communauté, c’est quand même les vraies gens qui roulent en char, tsé…
Je ne suis pas un cycliste.
10 ans comme conducteur de voiture à Montréal. 5 ans en région. Et pourtant, aucune haine ou frustration particulière envers les cyclistes. Je sais, c’est moi le niaiseux, du moins, à voir le nombre de gens en colère, c’est clairement moi qui ne comprends pas quelque chose. Qui ne comprends pas comment les cyclistes sont la pire nuisance sur terre en ce moment. Il y a pire que l’État islamique, il y a l’État cycliste !
Effectivement, un bon nombre d’entre eux ne respectent pas toujours les codes de la route. Et pour être honnête, avoir un vélo, je ferais fort probablement la même chose. M’arrêter à un arrêt en voiture me demande le très petit effort de peser sur le frein, ensuite sur l’accélérateur. Pas beaucoup de sueur d’impliquée. En vélo, c’est une autre paire de manches. Être un cycliste, je les brûlerais les feux rouges, ainsi que les stops. Après bien sûr m’être assuré qu’il n’y avait personne qui s’en venait. Un vrai petit rebelle sur deux roues. Un Hell’s Angel du Bixi.
Je me sens probablement plus près du cycliste qui ralentie un peu, regarde des deux cotés de la rue et passe sur le feu rouge, que de l’automobiliste qui cri à tue tête aux gars en cuissard un tas de bêtise, la bave à la bouche et la rage au cou. Jugeant d’ailleurs que c’était une bonne idée d’immortaliser sa performance d’homme de Cro-Magnon à l’aide de la caméra gopro sur son dash de char.
Ce que j’adore, c’est de voir le calme des cyclistes. Qui réagissent souvent uniquement par un regard hébété. Parce que les insultes du pitbull leur coulent sur leur dos, comme sur le dos… d’un gars habillé de la tête au pied en cuissard :-)
Je me fais couper, frôler, accoter, au moins 10 fois plus souvent par des voitures dans une journée, qu’il ne m’arrive de vivre une situation de danger avec un cycliste. Je n’ai pourtant aucune envie de produire et partager une vidéo pointant du doigt chaque conducteur de voiture : « Check lé ! Check lé ! L’os$# de mang$% de mar?% qui ne mets pas son clignotant quand il tourne ! »
D’où vient cette colère ? Je parierais un cinq cents de psychologie sur leurs propres insatisfactions envers leur vie. Quelque chose ne sait pas passé comme il le souhaitait. Une amertume qui est née de l’endroit d’où ils arrivent de l’endroit où ils se rendent. En gros, sont pas heureux où ils sont.
Conseil aux gens en colère. Arrange-toi donc pour aller à des endroits qui te tentent. Arrange-toi donc pour arriver d’un endroit où il était plaisant d’être. Arrange-toi donc pour être heureux. Probablement que la minute que tu crois perdre, à cause du cycliste trop lent à ton goût, te permettra de prendre le temps de réfléchir à tout ce que tu as, de l’apprécier et peut-être même te donner le temps de sourire :-)
Facebook, Louis T. : “Je ne suis pas un cycliste.”
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1. Le 8 avril 2018,
Franck
Ah tiens, plus de pneus à clous ? L’été est arrivé ? :-D
2. Le 8 avril 2018,
Laurent Gloaguen
L’été, l’été, faut pas aller trop vite en besogne. Mais oui, plus de pneus à clous.