28 avril 2018 / 00 h 06 / Technicolor et le bleu

Technicolor, 1926-1929. On ne sait pas faire du bleu. Le cinéma parlant est à ses balbutiements.

Technicolor, 1930. “King of Jazz.” On ne sait toujours pas faire du bleu.

Technicolor, 1935. “Starlit Days at the Lido.” Le bleu est là.

  • 1. Le 29 avril 2018,
    Arbrav

    Fascinant! Surtout le premier extrait

  • 2. Le 1 mai 2018,
    Karl, La Grange

    (off)

    Au passage, j’ai du mal à cerner l’objectif de ce colloque au Québec avec une telle majorité d’intervenant·e·s français·es, à ce compte là il eut été plus cohérent qu’il ait lieu sur le plateau…

    J’ai ri.

  • 3. Le 4 mai 2018,
    franCk

    On ne sait pas faire le bleu… ou il ne s’est pas conservé ? Les vieux polaroïds et autre tirage photos perdent aussi fréquemment le bleu (off the hat, je suggérerai que l’absorption des pigment bleus dans l’UV les détruit plus rapidement).

  • 4. Le 4 mai 2018,
    Laurent Gloaguen

    Non, ce n’est pas le bleu qui s’est effacé. Un film comme King of Jazz (1930, seconde vidéo) a été tourné en Technicolor Process 3. C’était filmé sur deux films noir et blanc avec des filtres rouge et vert. Le nouveau procédé à trois films sera exploité à partir de 1932. Le premier film avec du bleu Technicolor est Flowers and Trees de Burt Gillett, produit par Walt Disney.

  • 5. Le 4 mai 2018,
    Laurent Gloaguen