19 janvier 2016 / 14 h 57 / Du Mozart…
« Partout, écrit-elle, l’oreille repère des pointes d’énergie langagière caractéristiques : précision et force de l’articulation, volubilité, intensité vocale, tonus. Une musique mozartienne, une autre façon de parler la langue française prend corps dans l’espace public. »
Monique LaRue se défend diplomatiquement de trouver la langue des Français supérieure à celle des Québécois ; mais, précise-t-elle — et personne ne la contredira là-dessus —, « cet apport est un renfort » pour la langue précaire qu’est la nôtre.
La Presse, Lysiane Gagnon : “Le nouveau son de Montréal”.
Oui, faut sortir aussi un peu du Plateau envahi de maudits Français…