7 février 2016 / 18 h 54 / Nénufaresque

Franchement, les amis de la presse, vous n’avez donc rien de mieux à faire ? Voilà une bien longue éternité que cette réforme de l’orthographe avait été décidée, et si mes souvenirs sont exacts, les mêmes effrois scandalisés avaient fait long feu à l’époque. 

Ce qui me frappe, c’est de voir aujourd’hui, à quel point, désormais une dépêche reprise par les médias va pouvoir servir de mèche pour allumer une sorte d’incendie qui se propage à tous et vient obscurcir tout jugement ou perspective de bon sens.

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Un jour @ la fois, Otir : “J’irai jeûner sous les nénufars”.